23/06/2010
Et à la fin il ne reste de nous....
Il y a peu en lisant le roman de Hennig Mankel "Meurtiers sans visage" une bouffée de trsitesse s'est emparé de moi comme raremment je n'en ai ressenti. Je me revois avec mes soeurs dans le petit pavillon que me sparents louaient à Bergerac, Papa était en maison de retraite depuis peu et ils nous incombaient de vider le pavillon afin de libérer la place pour d'autres locataires et ne plus payer ce loyer devenu inutile. Un vrai crève coeur de voir que tous les petits trésors de vie que mes parents avaient accumulés, se retrouvaient à présent dans un sac poubelle. En effet pour les...