04/03/2008
L'Ombre plane
Il est encore de retour, tout de noir paré
Mon corbeau du passé, enfoui comme il était
a attendu son heure, le revoilà affûté comme l’acier
qui tranche en rondelles mon esprit apeuré
Je l’avais repoussé, laissé pour mort et enterré
mais c’est mal connaitre mon double de noirceur
il a pris tout son temps et surgit comme un diable
de sa boite mentale ou il etait coincé
Pas de repos et pas d’échappatoire
il est là sournois et sa voix est si forte
la lutte est inégale car il me connait bien
usant mes faiblesses et puis mon désespoir
La fuite, encore, toujours car il est bien trop fort
l’ombre s’étend et son fog grisatre
s’empare de mon âme, effacant mon enfance
les souvenirs, les pires reviennent à la charge
Plus rien, il fait noir, la lumière se meurt, il a gagné.....
a attendu son heure, le revoilà affûté comme l’acier
qui tranche en rondelles mon esprit apeuré
Je l’avais repoussé, laissé pour mort et enterré
mais c’est mal connaitre mon double de noirceur
il a pris tout son temps et surgit comme un diable
de sa boite mentale ou il etait coincé
Pas de repos et pas d’échappatoire
il est là sournois et sa voix est si forte
la lutte est inégale car il me connait bien
usant mes faiblesses et puis mon désespoir
La fuite, encore, toujours car il est bien trop fort
l’ombre s’étend et son fog grisatre
s’empare de mon âme, effacant mon enfance
les souvenirs, les pires reviennent à la charge
Plus rien, il fait noir, la lumière se meurt, il a gagné.....
21:20 Publié dans Idées noires | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : enfance, prose, ombre, le corbeau