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16/01/2009

Le blues d'un vendredi

Aujourd'hui sans que rien ne le laisse présager vraiment je me susi retrouvé avec deslarmes dans les yeux. Cette nuit j'ai rêvé de mes parents disparus et à midi alors que j'écoutais le superbe CD de Dick Annegarn "soleil du soir" les larmes me sont venues. Drôle de sentiment lorsque la tristesse s'abat sur vous comme un nuage noir qui vient obscurcir le ciel Blue d'azur. On ne se l'avoue pas vraiment mais la tristesse est là omni-présente, alors on avance en essayant de se dire que ce sera mieux demain, mais il faut bien l'admettre tout ca ne sont que stratagèmes pour repousser l'inéductable.


podcast

Oui ils sont partis et nous ont laissés là démunis, perdus comme lorsque nous étions enfants égarées sur une grande plage ou dans un centre commercial trog grand pour nous. Ah oui Abcisse, Mike et Meerkat je pense à vous...

Cependant à la fin de mon repas un joli bébé (une petite fille) m'a gratifié d'un grand sourire, une risette comme seul les enfants savent les faire, alors un grand rayon de soleil à troué les nuages et m'a inondé le coeur de bonté et de bonheur. C'est aussi ca la Vie des moments pénibles entrecoupés de bonheur fugaces certes mais tellemment intenses que l'on se sent ragaillardi pour un temps...

Commentaires

j'aime cette façon de "voir" et de "dire"...
sincèrement
Doume

Écrit par : Doume | 16/01/2009

C'est bouleversant Jipes. En lisant tes quelques lignes, j'ai "ressenti" (à quelle échelle ???) ton émotion ou plutôt la mienne. C'est fou, comme, juste un sourire peu vous positiver. La puissance des "rien" émanant des personnes et qui plus est des enfants.

Écrit par : Olivier | 16/01/2009

C'est vrai que c'est là, quelque part en nous, à tout jamais, mais c'est la vie, alors, on "fait avec". Samedi, j'avais le blues, j'étais down comme je ne l'ai pas été depuis... jamais et j'sais pas trop pourquoi, et j'étais seul à la maison avec mon fils... Sa "vie" m'a enlevé mon blues en si peu de temps, et c'est vraiment passé, même en repensant à ce jour... le blues ne revient pas.

Écrit par : G.Mike | 16/01/2009

feeling bien connu, hélas, oserai-je dire...
pensez à ceux qui, contrairement à vous, ne trouvent pas, ne voient pas, n'entendent pas ce "petit rien" qui fait la différence entre un sale moment de blues, et le blues de toute une vie. a ceux qui adoptent la philosophie du "bonus", qui portent aux nues ce "sourire d'enfant", ce passage dans un morceau de musique, qui les éloigne pour un court moment d'un blues qui les déchire en permanence, sans qu'il ne sachent d'ailleurs pourquoi..."born to be sad?", car ils savent que ce petit moment mettra bien longtemps à revenir, alors que le blues, lui, sera toujours là, jusqu'à se tranformer en black.
bizarre, notre vie, quand même. enfin, pour certains, en tout cas...

Écrit par : Lefty | 16/01/2009

Doume--->Merci !

Olivier--->Merci, oui il a heureusement des rayons de soleil

G.Mike--->Tant mieux Mike pour moi c'est cyclique mais ce sourire m'a fait grand bien !

Lefty--->Oh oui tu sais j'y pense...souvent !

Écrit par : jipes | 16/01/2009

Courage, Jipes.
C'est si bien écrit.

Dans un autre registre, moins pire, je remonte la pente lentement, parfois en glissant: séparation, chômage, par fois c'est le blues terrible... :(
mais il faut s'accrocher, résister, et un jour vient la lueur.

Une chanson me vient à l'esprit: "Daddy's gone to Knoxville".

Écrit par : Largol | 17/01/2009

:)

Écrit par : nie | 19/01/2009

comme quoi parfois un grand sourire vaut mieux qu'un grand discours...petite chose toute simple mais qui te remet du baume au coeur...

Écrit par : Fa | 20/01/2009

Fa--->Absolument des choses simples mais tellement bonnes !

Écrit par : jipes | 20/01/2009

Les commentaires sont fermés.