21/10/2005
Derrière chaque clown, il y a un homme qui pleure
C'est curieux comme les vieilles fractures réapparaissent toujours c'est un peu comme les rhumatismes pendant l'été on les oublie et puis ils reviennent encore et toujours ! La perspective de mon passage dans la 46ème année de mon existence me pèse comme rarement, pour quoi je ne sais pas, un vieux coup de spleen, la course contre le temps.
Finir ce que l'on voulait faire, commencer ce que l'on a jamais eu le temps ou le courage d'entreprendre et chaque année le canevas rétrécit, le tisser devient de plus en plus difficille. La course pour se retrouver lorsque l'on s'est perdu dans les vicissitudes de la vie courante, de la routine, des occasions manquées et des lachetés quotidiennes. Oh rien de bien terrible, juste cette triste impression que l'on est passé à coté !
A coté des amis, a coté du grand amour, a coté de la réussite etc.... Bon aller c'est pas le tout mais il faut avancer même si comme le dit si justement Souchon "c'est une évidence on n'a pas assez d'essence pour faire la route dans l'autre sens". Et pourtant j'aimerais bien la refaire la route....
A coté des amis, a coté du grand amour, a coté de la réussite etc.... Bon aller c'est pas le tout mais il faut avancer même si comme le dit si justement Souchon "c'est une évidence on n'a pas assez d'essence pour faire la route dans l'autre sens". Et pourtant j'aimerais bien la refaire la route....
09:30 Publié dans Idées noires | Lien permanent | Commentaires (18) | Tags : tristesse, clown, masques, vie, passé, nostalgie